Numérisez et Restaurez vos film argentiques et cassettes vidéo.
Scan de vos films 8mm, Super 8, 9.5mm, 16mm et 35mm en HD jusqu'à 4K.
Numérisation et Up-conversion de vos cassettes VHS, HI8, DV, BETA jusqu'en 8K par Intelligence Artificielle.
Numérisation et Transfert de vieux films 8mm, super 8, 9,5mm, 16mm, vidéo Hi8, VHS, VHSC, Umatic, miniDV en HD et 4K. Conservation, restauration, montage avec mediaCapture
Numérisation et Transfert de vieux films 8mm, super 8, 9,5mm, 16mm, vidéo Hi8, VHS, VHSC, Umatic, miniDV en HD et 4K. Conservation, restauration, montage avec mediaCapture
Il y a quelques mois est sorti le dernier album du groupe Moriarty, accompagné du clip Julie Gold’s Candy Cane Tale, tourné par ce fou du super 8 qu’est Clément DEUVE.
Fou, parce qu’en plus de tourné son clip en Super 8 Kodak TRI-X, Monsieur Clément DEUVE se permet aussi le luxe de développer lui-même de façon artisanale ses bobines chez lui. Le résultat est bien là ! Une ambiance lynchienneà souhait que l’on croirait tout droit sorti de Eraserhead.
Les films Super 8 ont été numérisés dans un premier temps en APPLE PRO RES HD 1080p25, puis en 4K UHD, Clément ayant été assez sympa pour nous laisser nous faire la main dessus. Ce qui lui a visiblement permis de rajouter quelques effets de post-prod malgré le grain très prononcé de la TRI-X.
A mediaCapture, nous sommes très heureux d’avoir pu participé à ce projet et de rencontrer ce bonhomme aussi grand qu’il est sympa.
Ca y est, j’y suis arrivé! Exactement là où j’y ai laissé mes parents avant moi quelques années auparavant, le grand saut au-dessus du gouffre générationnel qui me sépare désormais de ma fille de 5 ans. Quand Papa était petit, il n’y avait plus de dinosaures, mais presque.
Jusque maintenant, j’ai toujours su que mon monde avait changé, mais pas au point de troubler la représentation mentale de l’univers d’une fillette de 5 ans.
-“C’est quoi ce bruit?!” me demande-t-elle.
-“Ca, c’est le reombobinage de la bande, pour remettre de film au début. Tu comprends? …Tu comprends ce que ça veut dire, n’est-ce pas?
– …Non. Ca veut dire quoi rembobiner la bande pour remettre le film au début? Il n’y a qu’a appuyer sur le triangle et c’est bon, non?
– Ah, pauvre petite naïve. Il s’agit d’une cassette VHS j’ai forgé toute ma culture cinématographique grâce à ça. On se cotisait avec les copains et on allait se louer des films au video club pour le week-end avant de les ramener le Dimanche soir. C’était trop cool !
– … Elle bizarre ton ton époque, papa. Et c’est quoi ce fil ?
– Ah, ça, c’est fil de la télécommande !”
Vous aussi, ayez l’air moins ringards, pensez à numériser vos films VHS & HI8, avant de troubler l’esprit de vos enfants.
A mediaCapture, on ne le cache pas, on est super copain avec Gaston, aussi, quand on constate à quel point ce bonhomme se fait conspué, insulté, villipendé sur internet depuis quelques mois, suite à l’affaire de la photo de Coluche, on le soutient.
Nous sommes très attristés de constater à quel point son nom fut, et est encore sali sur le web, tous ça pour avoir voulu défendre l’intégrité de l’une de ses oeuvres face aux Restos du Coeur et autres Enfoirés.
Notre rencontre remonte à 11 ans en arrière (juillet 2004), alors que les trois membres fondateurs de mediaCapture étaient agenouillés sur le trottoir de la rue trousseau, faisant des aller-retour sur la devanture vert-pomme de la boutique du 17, un rouleau de peinture couleur aubergine à la main. A ce moment-là, la somme de nos âges n’atteignait pas encore les 75 ans. Il fut un des premiers à nous avoir accueilli à bras ouverts dans le quartier, alors que d’autres ne donnaient pas cher de la peau de ces trois bébés de 23 et 25 ans se lançant dans une étrange activité appelée dématérialisation.
Et depuis, il nous squatte presque tous les jours.
C’est aussi grâce à Gaston que nos chemins ont pu croiser ceux de Moebius, Hayao Miyazaki, Jil Larson et tant d’autres.
Aussi, quand notre copain Mandrake (un brillant guitariste qui excelle à la basse) publie un article sur la véritable histoire de cette photo, on la publie nous aussi, en recopiant l’intégralité de l’article, et en l’agrémentant d’un petit film en Super 8 illustrant bien l’ambiance de ses séances photos.
C’était lors des 1 an de mediaCapture, et on voit bien comment Gaston est capable d’animer tout un quartier juste pour avoir la bonne photo.
… tiens, d’ailleurs, il faudrait que je la retrouve cette photo.
MERCREDI 29 AVRIL 2015
LA PHOTO DE COLUCHE
La véritable histoire et les coulisses d’une célèbre photo qui a beaucoup fait parler d’elle…
Depuis quelque temps, et de façon récurrente, on peut lire ou entendre ici et là des propos qui frisent la calomnie ou la malhonnêteté intellectuelle, au sujet de la photo de Coluche qui est utilisée depuis presque 30 ans pour accompagner les activités des Restos du Coeurque l’artiste avait créés.
Les erreurs, interprétations et parfois les mensonges, concernent autant la manière dont la photo a été prise (qui voudraient faire croire qu’elle a été “soutirée” à Coluche par un photographe qui l’aurait “harcelé”) que la personnalité du photographe, qu’on a voulu faire passer pour un être vénal au prétexte qu’il s’est opposé au détournement de son cliché par les “Enfoirés”. (Je me suis exprimé à ce sujet il y a 2 ans, quand soudain tout le monde se déchaînait contre Gaston) : laffaire-de-la-photo-de-coluche-paf.html)
Il se trouve que je connais très bien l’intéressé, et que je suis en mesure de rétablir certains faits. Et puisque tout récemment de nouveaux articles (d’où le journalisme est totalement absent !) ont complaisamment remis en ligne certains mensonges, il me semble pertinent de remettre quelques pendules à l’heure.
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Petite surprise pour les amateurs de BD : il se trouve que Jean Giraud – alias MOEBIUS ! – était un ami de Gaston, lequel m’avait d’ailleurs permis de le rencontrer et de le filmer à la fin de sa magnifique expo en 2012 Or, Moebius s’était amusé à dessiner le récit de la fameuse séance de photo, et j’en reproduis ici quelques cases.
En 2006, il avait en effet tenu à offrir à son ami Gaston sa vision amusée de l’anecdote, car il trouvait injuste que personne ne mentionne jamais le nom de l’auteur du célèbre cliché.. On ne trouve ces dessins nulle part sur le net, je crois…
TOUTE L’HISTOIRE DE LA SEANCE :Nous sommes en mai 1985. La revue Vogue Italia, par l’intermédiaire de la journaliste Francesca Premoli, a commandé à Gaston Bergeret un reportage photo lors du Festival de Cannes. Il s’agit de proposer au magazine des portraits de quelques acteurs et réalisateurs. Gaston n’est pas un inconnu pour la revue : rappelons qu’il a obtenu le Prix de Rome quatre ans auparavant et a été adoubé par Robert Doisneau himself, pour la qualité de son regard artistique…
Cette semaine-là sort le film de Dino RISI “Le fou de guerre”, dont Coluche tient le rôle principal, et la tournée des plateaux télé bat son plein. (c’est d’ailleurs sans doute pour cela que Coluche a encore sa coupe de cheveu très courte, un peu comme dans le film…) D’autres films en compétition ont permis à Gaston de photographier également Emir Kusturica ou Alan Parker, lors du festival.
Pour Vogue Italia, Gaston a installé un petit “studio photo” de fortune dans le hall de l’Hôtel Martinez. Là, il a tendu une toile et installé une chaise sur laquelle il demande à ses “sujets” de s’installer, généralement à cheval, les mains sur le dossier, pour une posture naturelle. (à la fin de ce texte, vous découvrirez les 6 portraits de cette fameuse séance !) Stars sur chaise ! Tout cela se déroule entre 11h30 et 15h. Le premier à s’installer sur la chaise, le matin, sera le metteur en scène et réalisateur Patrice CHEREAU, pour un beau portrait, qui sera parfois reproduit dans la presse ou ailleurs.
S’enchaineront ensuite successivement le réalisateur Dino RISI, puis le réalisateur Mario MONICELLI et l’acteur Bernard BLIER. A la mi-journée, Gaston voit Coluche très entouré, qui se rend sur le plateau du journal d’Yves Mourousi, en duplex de Cannes. Coluche aperçoit son installation et s’en amuse. Gaston, pour le titiller, s’adresse à lui en italien : “Permesso, signor Colucci, un ritratto per le Vogue Italia ?” Mais Coluche est accaparé par le service de presse, le staff du festival, des journalistes, et il lui fait un salut et un signe d’impuissance…
Gaston prend son mal en patience et aperçoit Michel PICCOLI, dont il tirera également le portrait quelques minutes plus tard. Soudain, Coluche réapparaît ! Il s’est éclipsé, prétextant aller aux toilettes pour rejoindre Gaston et son studio photo improvisé dans le hall. Cette fois ils se parlent en français. “Eh ben vas-y mon pote, tu as 30 secondes pour me tirer le portrait… !”
Coluche photographié par Gaston… croqués par Moebius !
La “séance” dure moins de 2 minutes en tout. Elle rappelle à Gaston qu’une belle photo, c’est souvent 10 secondes… précédées par 2 heures d’installation et 20 ans de métier !Michel PICCOLI a assisté à la scène, qui l’a amusé, et après que Coluche soit retourné sur le plateau TV, il s’installe à son tour pour être portraitisé par cet étonnant photographe. (on le voit assez hilare, dans sa pose, en fin de ce texte) En l’espace d’un peu plus de 3 heures, Gaston aura ainsi immortalisé 6 artistes. Etrangement, de cette session, seule la photo de Coluche ne figurera pas dans l’édition de Vogue Italia quelques jours plus tard !Ci-dessous, vous pourrez découvrir les 6 portraits. J’aimerais attirer votre attention sur 2 choses qui sautent aux yeux et démentent complètement les âneries qu’on a pu entendre ou lire au sujet de la photo de Coluche :- on voit bien que ces portraits sont “posés” et que le photographe a pris soin d’installer un fond et de faire en sorte d’obtenir un bon résultat malgré l’environnement. On est bien loin d’un prétendu “cliché de photographe harceleur qui aurait coincé Coluche pour le photographier aux toilettes” !!!! (ne riez pas : je l’ai lu hier dans un “article journalistique”… et on peut se demander pour quelle raison certains relaient une histoire inventée au sujet d’une anecdote qu’ils n’ont pas vécue !) – une autre chose frappe : Dino RISI, Bernard BLIER et COLUCHE ont le même regard qui pétille. Il faut savoir (j’en ai souvent fait l’expérience, y compris en compagnie de Moebius !) que Gaston a pour “spécialité” de créer une ambiance d’hilarité ou de fantaisie quand il tire un portrait : il saute, plaisante, pousse des exclamations avec son accent du sud-ouest, jusqu’à obtenir “le moment” de l’étincelle dans le regard. Et c’est bien la leçon de ce beau portrait de Coluche : dans son regard, on voit se refléter celui de l’artiste qui le prend en photo. Car cette photo est aussi une oeuvre d’art.L’année suivante, on demandera à Gaston de pouvoir utiliser ce cliché extraordinaire pour accompagner les Restos du Coeur. Non seulement le photographe accepte, mais il donne l’autorisation à viepour les bénévoles des Restos d’utiliser cette photo, afin de soutenir leur action pour les distributions (sur les camionnettes, en affiches sur les lieux de distribution, etc. )
Lorsque, bien des années plus tard, il s’offusque du détournement de cette image sans qu’on le consulte, on ne donne pas suite. La vision de ce portrait défiguré, affublé de moustaches, sur des T-shirts, mugs ou autres utilisations commerciales il y a 2 ans, font bouillir son sang de Gascon… D’autant qu’on lui conteste qu’il s’agit bien d’une photo d’artiste, au prétexte que c’est un portrait et que Coluche est plus célèbre que lui… Contrairement à ce qui a été écrit et relayé partout, il n’a jamais interdit aux bénévoles d’utiliser la photo, mais assigné les Enfoirés et l’organisation des Restos au civil, pour qu’ils n’exploitent pas la photo commercialement en la détournant, sans son accord (ou alors en le rémunérant pour cela, logiquement, puisque ça n’a plus rien à voir avec le don qu’il avait fait spontanément en 1986 au bénévoles des Restos du Coeur !).
Les amis et proches de Gaston Bergeret ont souffert de la médiatisation négative et souvent orchestrée avec malveillance, autour de cette photo, qui a pu occulter parfois son magnifique travail (notamment autour de l’architecture) et qui continue de le poursuivre… alors qu’elle avait été un joli moment de partage entre 2 hommes… suivi d’un grand moment de partage avec un très grand nombre de ses contemporains.
Jean-Luc Muller – avril 2015
Portraits reproduits avec l’autorisation de Gaston F. Bergeret Dessins de Moebius offerts à Gaston, qui m’a autorisé à les reproduire.
Non, Il ne s’agit d’une chasse aux oeufs de Pâques, au sens strict, que nous organisons dans les locaux de mediaCapture.
Oeufs de Pâques se traduit en anglais “easter eggs“, et dans le jargon informatique, les Easter Eggs sont des fonctions existantes dans un programme, implémentées afin que les programmeurs puissent faire des tests, ces fonctions sont ensuite désactivées parce que l’on a décidé de ne pas les garder pour des raisons diverses et variées échappant la compréhension du commun des mortels que nous sommes.
Et des Easter Eggs, il y en a quelques uns dans les services mediacapture.me.
En premier lieu, le mystérieux dossier “www” , que tous les utilisateurs de mediacapture.me ont vu passé dans leur dossier “home“. D’où vient-il ? De quoi s’agit-il ? Pourquoi est-il là?
Il s’agit en fait d’un serveur web sous apache. En l’état, votre compte mediacapture.me peut vous servir de serveur web pouvant héberger votre propre site web. Il vous suffit pour cela de mettre vos pages html dans le dossier “www” et le tour est joué.
Accédé par la suite à votre site en tapant dans la barre d’adresse de votre navigateur :
http://dsm.mediacapture.me/~(le nom de mon compte)
Par exemple, le nom de mon compte est DrummondPhillip, cela donne :
http://dsm.mediacapture.me/~DrummondPhillip/
Mieux, vous pouvez même uploader un CMS de type WordPress, Joomla, ou Drupal… pour cela, penser néanmoins à nous demander à ce que l’on vous créé une base de donnée mysql.
Pour plus de détails, allez donc voir ici !
Montrez vos bobines avec Photo Station Personnel.
Photo Station Personnel est une application web disponible pour tous les utilisateurs mediacapture.me. Il s’agit d’un site web personnel orienté vidéo et photo.
Vous avez alors entre les mains votre propre site de partage video et photo personnel tel que Youtube, ou Dailymotion, sans besoin de compétences web ou de programmation quelconque.
Photo Station est composé d’une visionneuse media, d’un micro blog, ainsi que de quelques applications de retouche d’image en ligne comme Pixir Editor et Aviary pour créer vos montage photo et diaporama.
Ca ressemble à ça : http://dsm.mediacapture.me/photo/
Comme vous l'avez certainement deviner, il ne s'agit que d'un poisson d'Avril. Pour l'instant, aucune de trace de U16K à mediaCapture ou nul part ailleurs. Par-contre le film Super 8 autour de la fashion-week est bien une réalité.
Il s'agit bien d'un Super 8 K-40 numérisé en 4K Ultra HD.
mediaCapture abandonne son développement autour de la numérisation en 4K/UltraHD de vos films argentiques pour passer directement en U16K, soit une résolution de 16384×8640 Progressif pour 141 million de pixels dans un espace couleur WXYZ, bien supérieur au cinema numérique actuel.
Nous assumons pleinement les raisons de ce choix extrêmement risqué pour la simple et bonne raison qu’il toujours été une priorité pour nous d’offrir le meilleur de la numérisation à nos clients.
Les films sont livrés en EVC16K (H267 Part4 de catégorie militaire) au profil MAIN.
Il n’existe actuellement aucun moyen de lire les fichiers fournis, mise à part d’en faire une suite d’image JPEG d’un poids de 128 Mo par image, les processeurs actuels n’ayant pas encore de puce de décodage EVC16K. Nous parions néanmoins sur un développement industriel d’écrans et de lecteurs 16K d’ici 2022. C’est pourquoi nous vous avons mis un extrait en 4K pour vous faire une idée du résultat.
Il s’agit d’une pellicule Super 8 Kodachrome 40 datant de 1993 lors d’une Fashion Week. L’espace couleur en WXYZ du U16K nous ont permis de contourner les problèmes liés aux conditions de lumières très basses pour une pellicule de 40 ASA.
Le Festival propose des films d’aujourd’hui, d’hier et d’autrefois, réalisés par des cinéastes amateurs dans les formats 8, 9,5 et 16 mm, qui sont projetés, pour la plupart, sur du matériel d’époque.
Le CECAS-ESPACE DES ARTS est le centre culturel de la ville des Pavillons-sous- Bois. Contact : Séverine Houy, Julie Arnaud ou Gaële Hernio Tél : 01.41.55.12.80
Mail : espacedesarts@wanadoo.fr http://www.espace-des-arts.fr
CINÉSCOPIE est la revue des amateurs de cinéma. Revue trimestrielle vendue sur abonnement. La CINÉMATHÈQUE DU CINÉMA AMATEUR a pour objectif la défense et la reconnaissance du cinéma amateur en général et sous toutes ses formes.
Contact : Michel Gasqui
Tél : 03.23.53.25.81 Mail : michel.gasqui@orange.fr La revue : http://cinescopie.blogspot.fr/ La cinémathèque : http://ccamateur.blogspot.fr/
Festival de cinéma indien sur Paris – “Extravagant India !” 2015
mediaCapture est heureux d’être partenaire de la seconde édition du Festival Internationnal du Film Indien Extravagant India! qui se tiendra du 4 au 10 mars 2015 auGaumont Champs-Elysées – Marignan du 4 au 10 mars 2015.
Jeter un pont entre l’Inde et la France.
Voilà les termes du partenariat unissant mediaCapture et Extravagant India !. Pour le cas échéant, notre mission est d’assurer le transport dématérialisé des masters des longs-métrage, courts-metrage et documentaires sélectionnés. afin de les partager entre les divers prestataires du festival Extravagant India !.
Pour l’occasion, l’équipe de mediaCapture a mis en place spécialement pour le festival Extravagant India !, un service de mastering de DCP en ligne : dcp-encoder.com.
Un veritable workflow de post-production en ligne à plus de 7000km.
Une fois les masters uploadés par synchro, commence un veritable processus de post-production internationalisé. Conformation et time-codage à Paris, chez mediaCapture, adaptation et traduction depuis Strasbourg, sous-titrage à Montreuil chez Brodkast, finishing et mastering DCP de nouveau chez mediaCapture, et envoi du DCP en ligne au Gaumont Champs-Elysées… en ligne !
dcp-encoder.com est l’épine dorsale de ce workflow virtuel, c’est pourquoi nous sommes très fiers et heureux de cette collaboration avec le festival Extravagant India !.
Cela fait des mois qu’on nous le demande, et ça y est, c’est fait ! Nous sommes très heureux de vous annoncer que maintenant, vous pouvez numériser vos films 8 mm, Super 8, Pathé 9.5mm et 16 mm en 2K Full Frame, soit 2048 x 1080.
Le transfert des films en 2K s’effectue en 2K HSDL Dual Link 4:4:4 dans un espace couleur RGB en 10bits, permettant ainsi une restitution de couleur des plus fidèle, mais offrant surtout de plus grandes marges de manoeuvre pour vos corrections couleur en post-production.
Le codec que nous préconisons est le APPLE PRO RES 4:4:4:4 en 2K@25p, c’est le codec qui, selon nous, présente le meilleur ration qualité/poids/usage, ce qui en fait pour nous le meilleur format pour la post-prodution en temps réel, et un très bon compromis en tant que fichier de conservation. Bien-sûr d’autres format de post-production sont possibles à la demande (DPX, 10 bits non-compressé, log RGB…).
Le 2K est aussi la résolution standard pour la diffusion en salle de cinema pour qui veut produire un DCP (Digital Cinema Package).
La bonne nouvelle est que les clients ayant numérisé leur films depuis Juin 2014 peuvent refaire numériser leur films en APPLE PRO RES 4:4:4:4 2K (2048 x 1080) pour 25% du montant de leur facture précédente, soit, si vous avez numériser pour 100,00€ de films depuis Juin 2014, nous les re-numérisons pour 25,00€.
Novembre 1989, Guy TRIER alors Réalisateur/ Documentariste de son état, se retrouve au milieu de l’Etat Major de la caserne Napoléon, Berlin-Ouest – Secteur Français, sans vraiment savoir qu’un événement majeur allait se produire sous sa caméra. Ce soir de Novembre 1989, le mur symbolisant la scission idéologique du monde allait s’effondrer.
Un beau jour Guy TRIER, se présentant à mediaCapture,une boîte en carton sous la main me dit :
“Il s’agit de vieux documents datant de ma vie antérieure, de l’époque pendant laquelle j’étais documentariste. Je sais plus trop trop ce qu’il y a la dedans, j’ai tous mis en vrac, il y a de tout – U-Matic, BVU, BETA, 16mm… – à l’occasion, si vous pouviez tous me numériser, ce serait super.”
Effectivement, la boîte en question était remplie de trésors… en vrac, dont on vous présente ici un petit extrait issus d’une cassette BVU présente dans les fonds d’archive de Guy TRIER.
On peut voir dans ce document comment les autorités de l’époque essaient d’anticiper les réactions et mouvements de foule afin que la libération de Berlin se passe dans les meilleures conditions. Ainsi que l’interview du Recteur de l’Université de Humbolt – Berlin Est, sinon ça aurait été trop facile.
Ce document n’a jamais été vu ou diffusé ou que ce soit, c’est pourquoi nous remercions Guy TRIER de nous avoir autorisé à le diffuser.
Notre ami Jean-Luc MULLER a besoin de vous pour finaliser son documentaire, aussi nous lui laissons la parole.
Chers amis
(oui, ceci est un mailing groupé – je sais que ça fait moins “personnel et chaleureux” mais je vous assure que le coeur y est et que je pense à CHACUN de vous en l’écrivant… !) 😉
D’ailleurs, pour égayer le texte dès le début, je glisse habilement un petit visuel avant le pavé de texte :
Le vaste projet autour de l’histoire de Pif-gadget, des éditions Vaillant et surtout de tous ceux qui y ont participé, est dans sa phase finale de tournages (après 5 ans à collecter des témoignages, documents, etc.)
Nous lançons aujourd’hui (depuis ce matin, pour être précis) un “crowdfunding”, c’est-à-dire une campagne de financement participatif par les internautes sur ce projet !
CA Y EST !! C’EST PARTI !
Vous avez lu “Vaillant” ou “Pif-gadget” dans votre enfance ? Ce projet est aussi le vôtre !
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La raison de cette campagne est double :
– terminer ces tournages en toute indépendance, loin des diktats des diffuseurs, pour recueillir des témoignages et des images sans la contrainte d’une chaîne qui vous empêche de prendre le temps ou ne vous donne pas les moyens d’aller rencontrer un auteur sous prétexte qu’il n’est pas assez “people” ou connu du grand public… (et je vous passe les autres commentaires de certains “décideurs”…)
– offrir aux contributeurs “coproducteurs” un véritable document de patrimoine, mêlant archives, sujets sur des auteurs ou événements liés à l’histoire de Vaillant et Pif-gadget, animations, et surtout une grande variété de témoignages qui font partie de l’histoire de la BD populaire et du récit de nos enfances respectives.
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Comment participer ?
C’est facile : vous vous rendez sur la page de la campagne du projet ici :
Vous vous inscrivez (ça prend 2 minutes, avec un nom et un mot de passe à créer)
Et après avoir lu la présentation du projet, visionné la vidéo qui annonce le film en cours de réalisation, vous cliquez sur “produire ce projet” tout en haut à droite !
Vous choisissez une tranche qui corresponde à votre “mise” et…. votre carte bancaire ou compte Paypal sont sollicités…
Mais chose importante : vous ne serez débités (et ne recevrez vos contreparties) que si l’objectif de la campagne est atteint en 60 jours !
Si l’objectif minimal fixé à la date d’échéance, personne n’a rien perdu ou gagné, le financement de la campagne est annulé
La précision est importante : le site “Touscoprod”, qui organise des campagnes de financement participatif depuis des années, suggère toujours (à raison !) de sous-estimer l’objectif chiffré de la campagne.
Gardez à l’esprit qu’évidemment, le seuil minimum affiché… est bien un strict minimum ! Pour réaliser le projet le plus complet dans des conditions très correctes, il faudrait pouvoir réunir au moins le triple (et avec une équipe très légère)
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Durant la campagne, un jeu sera proposé de temps en temps aux contributeurs par mail, pour remporter des lots liés à Pif : anciens numéros du journal, objets publicitaires, etc…
Autre chose intéressante à savoir :
Vous pouvez choisir de participer modestement et augmenter votre mise de coproducteur en cours de route et jusqu’à la fin de la campagne !
L’époque n’est pas facile et pour certains, 10 €, c’est déjà une somme…. mais leur participation est importante, et eux aussi recevront des choses fabuleuses par mail et pourront participer à des jeux afin de recevoir peut-être le journal qu’ils lisaient quand ils avaient 10 ans !
(à titre personnel, j’ai envie de vous encourager – si vous le pouvez bien sûr ! – d’essayer de miser au moins pour recevoir le DVD exclusivement destiné aux coproducteurs, – réalisé en tirage limité, avec son livret illustré – car il deviendra une pièce de collection… )
Quelle que soit votre participation, et même si vous ne pouvez pas participer pour une raison ou une autre, soutenez ce projet en partageant avec vos amis et réseaux le lien magique :
Cette campagne va être l’occasion d’animer un peu ce début d’été en faisant ressurgir quelques souvenirs et parfums d’enfance.
D’ailleurs, si vous-mêmes avez envie de partager quelques souvenirs ou trouvailles liés à Vaillant ou Pif, n’hésitez pas à envoyer un mot ici, à l’adresse pif-film@orange.fr
Merci à vous, par avance ! Et comme lançait Pifou : “Glop, glop !”
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